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Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 15:14
par boubou21
konaté va reste qui voudra de lui ,chouiar devrait trouvez un club
dina aussi mais vu leur etat d esprit bonne chance a leur nouveaux club .

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 16:00
par Boldecyprine
Dina on s en tape il est prêté il retournera à Paris

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 16:48
par boubou21
ok mais les autres?
on fait un bus pour troyes ou clermont

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 17:18
par boubou21
ou un avion pour la turquie

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 17:35
par fabius
Vous inquiétez pas, Delcourt explique que les salaires L2 dans les contrats sont très inférieurs aux salaires L1. Les joueurs (et leurs agents qui sont souvent rémunérés sur un pourcentage du salaire de leur joueurs) vont être motivés pour trouver un autre endroit. Faudra juste que Delcourt cherche pas à maximiser le montant des ventes comme un malade. Sauf peut-être pour les grosses valeurs marchandes de l'effectif. Mais le fait de pouvoir si besoin assumer les salaires de l'effectif en L2, ça donne des billes dans les négos de transfert, d'ailleurs.

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 19:13
par fabius
Je mets ici le passage de l'article du BP qui est sorti ce soir, qui fait le point sur l'avenir des joueurs. Même si on avait déjà à peu près toutes ces infos :

"Le ménage de printemps est attendu en Côte-d’Or. Dans nos colonnes, le président du DFCO avait annoncé vouloir repartir avec « un petit tiers », de l’effectif actuel. Les candidats au départ sont légion (Chouiar, Konaté, Assalé, Dobre, Baldé, Ndong). Toujours sous contrat, Senou Coulibaly (2023) a émis le souhait de vouloir rester en L1, Bruno Ecuele Manga (2022) et Glody Ngonda (2022) étant suivis en Turquie. Jonathan Panzo (2023) a déçu, mais garde une valeur certaine de par son âge et son passé en sélection anglaise.

En fin de contrat, Fouad Chafik sait que le club veut le conserver. À 34 ans, si une expérience à l’étranger ne lui déplairait pas, il ne ferme pas la porte au DFCO, un club auquel il reste attaché. Frédéric Sammaritano a lui partagé son envie de poursuivre avec Dijon. Les prêtés en Ligue 2, Aurélien Scheidler (Nancy) et Bryan Soumaré (Sochaux) vont rentrer. Mickaël Le Bihan (Auxerre) a signé, Valentin Jacob (Niort) et Christopher Rocchia (OM) sont en contacts avancés."

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 19:37
par Hugo
Je me demande bien ce que le club compte faire de Rayan Philippe, certes son prêt est plus que décevant, mais ce n’est pas uniquement de sa faute. J’espère qu’on comptera sur lui, il a du potentiel

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 19:42
par Hugo
Et quels sont les joueurs en fin de contrat ? Il y a un gros point d’interrogation pour Lautoa et Ngonda par exemple... on reste sur notre faim avec cet article

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 20:07
par COYS21
Hugo a écrit : lun. 24 mai 2021 19:42 Et quels sont les joueurs en fin de contrat ? Il y a un gros point d’interrogation pour Lautoa et Ngonda par exemple... on reste sur notre faim avec cet article
FDC en Juin 2021
Frédéric SAMMARITANO
Levi NTUMBA
Fouad CHAFIK
Glody NGONDA MUZINGA (+1 an en option)
Wesley LAUTOA (+1 an si maintien)

Donc Lautoa visiblement part, Ngonda je vois pas pourquoi on l'activerait... Sammaritano et Chafik sont en discussions

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 20:14
par Boldecyprine
Hugo a écrit : lun. 24 mai 2021 19:37 Je me demande bien ce que le club compte faire de Rayan Philippe, certes son prêt est plus que décevant, mais ce n’est pas uniquement de sa faute. J’espère qu’on comptera sur lui, il a du potentiel
Moi je le garderai en 3 ème ou 4 ème attaquant dans le roulement .

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 20:23
par Hugo
Boldecyprine a écrit : lun. 24 mai 2021 20:14
Hugo a écrit : lun. 24 mai 2021 19:37 Je me demande bien ce que le club compte faire de Rayan Philippe, certes son prêt est plus que décevant, mais ce n’est pas uniquement de sa faute. J’espère qu’on comptera sur lui, il a du potentiel
Moi je le garderai en 3 ème ou 4 ème attaquant dans le roulement .
Dans un premier temps oui, et ensuite ce sera à lui de prouver qu’il mérite mieux

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 20:56
par Likoma
Un abonné au BP pourrait -il nous éclairer sur cet article tout du moins nous en donner les grandes lignes !

https://www.bienpublic.com/economie/202 ... la-ligue-2

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 21:41
par anthea
Likoma a écrit : lun. 24 mai 2021 20:56 Un abonné au BP pourrait -il nous éclairer sur cet article tout du moins nous en donner les grandes lignes !

https://www.bienpublic.com/economie/202 ... la-ligue-2
Droits télé, sponsors, subventions : quel business pour la Ligue 2 à Dijon ?
Après une saison difficile, le club de foot dijonnais se voit reléguer en deuxième division après six années en élite. Sportivement, ça change beaucoup. Économiquement, aussi. Comment les partenaires vont-ils continuer à soutenir leur équipe ? Et avec quel budget ?

Par Marie MORLOT - Aujourd'hui à 19:00 | mis à jour aujourd'hui à 19:42 - Temps de lecture : 4 min
| | Vu 903 fois
Voilà le championnat de football terminé depuis moins de 48 heures. Une fin de saison qui scelle la relégation en Ligue 2 du club masculin dijonnais du DFCO. Sportivement, il y a un pas de géant entre les deux divisions. Mais économiquement, c’est un grand écart.

« En 2021, nous attendions un budget de 45 M€. Il a été finalement lourdement amputé par le Covid et les soucis de droits télé avec l’affaire Mediapro pour atteindre 28 M€. L’an prochain, en L2, même si tout n’est pas ficelé, nous fonctionnerons avec environ 15 M€ », livre le président Olivier Delcourt, le “gardien” des comptes. Les droits télé, c’est un premier versement en moins. Avec des montants affectés aux clubs divisés par dix entre la ligue élite et sa petite sœur, le DFCO ne pourrait toucher que 2,5 à 3 M€.

Pour consolider son budget, le président devra donc devenir VRP pour aller discuter avec les partenaires financiers, deuxième source de revenus majeure. « Ils sont 400 au DFCO. Certains donnent 1 000 € par an et ils ont un abonnement au stade avec quelques prestations. D’autres, comme les sponsors maillots, donnent des centaines de milliers d’euros », confie-t-il. Mettront-ils encore la main au porte-monnaie pour s’afficher en Ligue 2 ?

« Embêtant » pour les sponsors
« Une relégation, c’est embêtant, oui, mais c’est à ce moment-là qu’on a besoin d’eux. C’est maintenant que nous verrons ceux qui étaient partenaires pour venir voir Dijon-Marseille et la visibilité d’une équipe première et ceux qui soutiennent vraiment le sport », lâche le président, également sponsor avec sa société DVF.

Du côté des “ambassadeurs”, la Caisse d’Épargne et Suez nous ont confirmé leur présence en 2021/2022 et à « même niveau ». Logique, leur contrat ayant été souvent négocié en amont pour trois à cinq ans. Plutôt désavantageux pour ceux qui ont signé avant la dégringolade. « Inversement, ceux qui payent pour de la L2 et qui vivent une montée y gagnent », relativise le président qui rappelle que les filles, elles, « sont toujours en L1 ».

« La Caisse d’Épargne de Bourgogne-Franche-Comté est à côté de ses partenaires aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments », confirme Fabien Chauve, membre du Directoire de la CEBFC. Malgré la deuxième division, il assure que « les valeurs partagées avec le club n’ont pas changé » et renouvellera donc sa « confiance » envers le DFCO « jusqu’en 2025 ».

Doras nous a indiqué être encore en « négociation » et Vincent Martin, iconique sponsor maillot, assure « ne pas avoir encore pris sa décision » sur un éventuel renouvel-lement.

Les sociétés IPS et Rougeot n’ont, quant à elles, pas répondu à notre sollicitation.

L’an prochain, en Ligue 2, même si tout n’est pas ficelé, nous fonctionnerons avec environ 15 M€.

Olivier Delcourt, président du DFCO

François Rebsamen est un grand amateur de foot. Photo archives LBP /Ph.B.
La Métropole arbitrera le montant de sa subvention en fin d’année

Du côté de la Métropole, même si la relégation aurait fait “grogner” François Rebsamen, la collectivité assure qu’elle « poursuivra son soutien au club, selon des critères adaptés et cohérents à la Ligue 2. Avec la descente, le budget du DFCO va baisser et la clause d’occupation du stade Gaston-Gérard aussi. Or, c’est une recette importante pour la collectivité (calculée en fonction du chiffre d’affaires du club et de la billetterie) lorsque le club évolue en Ligue 1 ».

La commission décidera donc du soutien financier de la collectivité pour la saison prochaine, « conformément aux règles de comptabilité publique ». Pour mémoire, le montant de la subvention avoisine les 900 000 € chaque fin d’année. Le 21 décembre dernier, la Métropole avait voté l’exonération exceptionnelle totale des redevances d’occupation du stade pour la saison sportive 2020/2021.

La tribune Dijon Céréales a disparu la saison dernière. Photo archives LBP /Philippe BRUCHOT
Stade Gaston-Gérard : le “naming” d’une tribune, combien ça coûte ?

Le club peut aussi compter sur le “naming” de ses tribunes, autre budget primordial. Celui des tribunes du stade Gaston-Gérard remonte à la première montée en Ligue 1 du club en 2011. Les virages nord et sud ont alors pris les noms de Dijon Céréales et Rougeot.

« À cette époque, c’est l’ancien président Bernard Gnecchi qui était venu me chercher en m’assurant que renommer une tribune au nom de la coopérative serait une pub formidable. Au premier partenariat, j’ai payé 80 000 € pour l’année pour un package général avec le nom sur la tribune et au dos des billets d’entrée, 200 places assises pour les salariés et prospects et une loge. Ensuite, c’était plus cher, à 120 000 € avec une soirée VIP lors des grandes rencontres », se rappelle l’ex-président de Dijon Céréales qui glisse que certains, des tribunes voisines, payaient « plus de 200 000 € » l’année.

« C’est un sport très populaire, vous voyez bien : pour nos agriculteurs ou boulangers, aller au stade, c’était formidable », glisse Pierre Guez qui s’amuse encore de quelques anecdotes.

« Lorsqu’il y avait un penalty, je voulais toujours qu’il soit tiré du côté de ma tribune. Avec le joueur filmé de dos et la tribune Dijon Céréales en gros sur les télés. Et puis les collègues blaguaient souvent en me disant qu’ils m’avaient vu dimanche sur Canal + », glisse-t-il confirmant que ce “naming” lui avait apporté une « notoriété terrible » et lui avait permis d’effectuer « des coups à trois bandes » côté business.

Toutefois, la nouvelle présidence de Dijon Céréales a fait le choix de ne pas renouveler ce partenariat historique. C’est désormais le groupe IPS qui a pris sa place en tribune.

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : lun. 24 mai 2021 21:58
par Likoma
anthea a écrit : lun. 24 mai 2021 21:41
Likoma a écrit : lun. 24 mai 2021 20:56 Un abonné au BP pourrait -il nous éclairer sur cet article tout du moins nous en donner les grandes lignes !

https://www.bienpublic.com/economie/202 ... la-ligue-2
Droits télé, sponsors, subventions : quel business pour la Ligue 2 à Dijon ?
Après une saison difficile, le club de foot dijonnais se voit reléguer en deuxième division après six années en élite. Sportivement, ça change beaucoup. Économiquement, aussi. Comment les partenaires vont-ils continuer à soutenir leur équipe ? Et avec quel budget ?

Par Marie MORLOT - Aujourd'hui à 19:00 | mis à jour aujourd'hui à 19:42 - Temps de lecture : 4 min
| | Vu 903 fois
Voilà le championnat de football terminé depuis moins de 48 heures. Une fin de saison qui scelle la relégation en Ligue 2 du club masculin dijonnais du DFCO. Sportivement, il y a un pas de géant entre les deux divisions. Mais économiquement, c’est un grand écart.

« En 2021, nous attendions un budget de 45 M€. Il a été finalement lourdement amputé par le Covid et les soucis de droits télé avec l’affaire Mediapro pour atteindre 28 M€. L’an prochain, en L2, même si tout n’est pas ficelé, nous fonctionnerons avec environ 15 M€ », livre le président Olivier Delcourt, le “gardien” des comptes. Les droits télé, c’est un premier versement en moins. Avec des montants affectés aux clubs divisés par dix entre la ligue élite et sa petite sœur, le DFCO ne pourrait toucher que 2,5 à 3 M€.

Pour consolider son budget, le président devra donc devenir VRP pour aller discuter avec les partenaires financiers, deuxième source de revenus majeure. « Ils sont 400 au DFCO. Certains donnent 1 000 € par an et ils ont un abonnement au stade avec quelques prestations. D’autres, comme les sponsors maillots, donnent des centaines de milliers d’euros », confie-t-il. Mettront-ils encore la main au porte-monnaie pour s’afficher en Ligue 2 ?

« Embêtant » pour les sponsors
« Une relégation, c’est embêtant, oui, mais c’est à ce moment-là qu’on a besoin d’eux. C’est maintenant que nous verrons ceux qui étaient partenaires pour venir voir Dijon-Marseille et la visibilité d’une équipe première et ceux qui soutiennent vraiment le sport », lâche le président, également sponsor avec sa société DVF.

Du côté des “ambassadeurs”, la Caisse d’Épargne et Suez nous ont confirmé leur présence en 2021/2022 et à « même niveau ». Logique, leur contrat ayant été souvent négocié en amont pour trois à cinq ans. Plutôt désavantageux pour ceux qui ont signé avant la dégringolade. « Inversement, ceux qui payent pour de la L2 et qui vivent une montée y gagnent », relativise le président qui rappelle que les filles, elles, « sont toujours en L1 ».

« La Caisse d’Épargne de Bourgogne-Franche-Comté est à côté de ses partenaires aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments », confirme Fabien Chauve, membre du Directoire de la CEBFC. Malgré la deuxième division, il assure que « les valeurs partagées avec le club n’ont pas changé » et renouvellera donc sa « confiance » envers le DFCO « jusqu’en 2025 ».

Doras nous a indiqué être encore en « négociation » et Vincent Martin, iconique sponsor maillot, assure « ne pas avoir encore pris sa décision » sur un éventuel renouvel-lement.

Les sociétés IPS et Rougeot n’ont, quant à elles, pas répondu à notre sollicitation.

L’an prochain, en Ligue 2, même si tout n’est pas ficelé, nous fonctionnerons avec environ 15 M€.

Olivier Delcourt, président du DFCO

François Rebsamen est un grand amateur de foot. Photo archives LBP /Ph.B.
La Métropole arbitrera le montant de sa subvention en fin d’année

Du côté de la Métropole, même si la relégation aurait fait “grogner” François Rebsamen, la collectivité assure qu’elle « poursuivra son soutien au club, selon des critères adaptés et cohérents à la Ligue 2. Avec la descente, le budget du DFCO va baisser et la clause d’occupation du stade Gaston-Gérard aussi. Or, c’est une recette importante pour la collectivité (calculée en fonction du chiffre d’affaires du club et de la billetterie) lorsque le club évolue en Ligue 1 ».

La commission décidera donc du soutien financier de la collectivité pour la saison prochaine, « conformément aux règles de comptabilité publique ». Pour mémoire, le montant de la subvention avoisine les 900 000 € chaque fin d’année. Le 21 décembre dernier, la Métropole avait voté l’exonération exceptionnelle totale des redevances d’occupation du stade pour la saison sportive 2020/2021.

La tribune Dijon Céréales a disparu la saison dernière. Photo archives LBP /Philippe BRUCHOT
Stade Gaston-Gérard : le “naming” d’une tribune, combien ça coûte ?

Le club peut aussi compter sur le “naming” de ses tribunes, autre budget primordial. Celui des tribunes du stade Gaston-Gérard remonte à la première montée en Ligue 1 du club en 2011. Les virages nord et sud ont alors pris les noms de Dijon Céréales et Rougeot.

« À cette époque, c’est l’ancien président Bernard Gnecchi qui était venu me chercher en m’assurant que renommer une tribune au nom de la coopérative serait une pub formidable. Au premier partenariat, j’ai payé 80 000 € pour l’année pour un package général avec le nom sur la tribune et au dos des billets d’entrée, 200 places assises pour les salariés et prospects et une loge. Ensuite, c’était plus cher, à 120 000 € avec une soirée VIP lors des grandes rencontres », se rappelle l’ex-président de Dijon Céréales qui glisse que certains, des tribunes voisines, payaient « plus de 200 000 € » l’année.

« C’est un sport très populaire, vous voyez bien : pour nos agriculteurs ou boulangers, aller au stade, c’était formidable », glisse Pierre Guez qui s’amuse encore de quelques anecdotes.

« Lorsqu’il y avait un penalty, je voulais toujours qu’il soit tiré du côté de ma tribune. Avec le joueur filmé de dos et la tribune Dijon Céréales en gros sur les télés. Et puis les collègues blaguaient souvent en me disant qu’ils m’avaient vu dimanche sur Canal + », glisse-t-il confirmant que ce “naming” lui avait apporté une « notoriété terrible » et lui avait permis d’effectuer « des coups à trois bandes » côté business.

Toutefois, la nouvelle présidence de Dijon Céréales a fait le choix de ne pas renouveler ce partenariat historique. C’est désormais le groupe IPS qui a pris sa place en tribune.
merci pour le partage ! :super:

Re: [INTERSAISON] Future équipe, entrainements, calendrier et matchs amicaux

Publié : mar. 25 mai 2021 08:43
par Dijon36
En lisant entre les lignes des déclarations de Delcourt, je pense qu'on va vers un effectif avec 1/3 d'historiques, 1/3 de nouveaux et 1/3 de jeunes issus de la formation. Les transferts ont l'air bien avancés, le projet prend forme. Pour tenir financièrement il y aura le gros chantier de se débarrasser des nombreux indésirables