[Rachat du club] Infos, Actualités
- Chad la moutarde
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
C'est justement l'inverse: plus le club est bas, moins il est cher. Et moins il est cher, plus il y a de potentiels repreneurs.
Une descente n'est pas forcément une mauvaise nouvelle pour une vente surtout qu'un acheteur sait où il met les pieds. Après... Delcourt doit être raisonnable sur les tarifs, ce qu'il n'était pas jusque là!
Une descente n'est pas forcément une mauvaise nouvelle pour une vente surtout qu'un acheteur sait où il met les pieds. Après... Delcourt doit être raisonnable sur les tarifs, ce qu'il n'était pas jusque là!
Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Qui voudrait acheter un club de fond de tiroir ?Chad la moutarde a écrit : ↑mar. 21 mars 2023 15:25 C'est justement l'inverse: plus le club est bas, moins il est cher. Et moins il est cher, plus il y a de potentiels repreneurs.
Une descente n'est pas forcément une mauvaise nouvelle pour une vente surtout qu'un acheteur sait où il met les pieds. Après... Delcourt doit être raisonnable sur les tarifs, ce qu'il n'était pas jusque là!
Tout est à refaire au DFCO - nouveau président, nouvel entraîneur, nouveau staff, nouveaux joueurs, nouveaux recruteurs...
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Justement au contraire on a tout infrastructure stade après oui tout reste à faire mais ça peut être un point positif pour un nouvel actionnaire il pourra mettre en place tout cela sans traîner trop de boulet.Phénix a écrit : ↑mar. 21 mars 2023 18:05Qui voudrait acheter un club de fond de tiroir ?Chad la moutarde a écrit : ↑mar. 21 mars 2023 15:25 C'est justement l'inverse: plus le club est bas, moins il est cher. Et moins il est cher, plus il y a de potentiels repreneurs.
Une descente n'est pas forcément une mauvaise nouvelle pour une vente surtout qu'un acheteur sait où il met les pieds. Après... Delcourt doit être raisonnable sur les tarifs, ce qu'il n'était pas jusque là!
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Un club qui sera parmi les favoris du National, ça intéresse du monde. Strasbourg et Bastia ont été rachetés alors qu'il y avait tout à refaire, et bien pire que chez nous.
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Voilà c’est exactement celaChad la moutarde a écrit : ↑mar. 21 mars 2023 19:49 Un club qui sera parmi les favoris du National, ça intéresse du monde. Strasbourg et Bastia ont été rachetés alors qu'il y avait tout à refaire, et bien pire que chez nous.
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Le seul moyen pour le DFCO d'avoir un trophée c'est de descendre en National, tout est penséChad la moutarde a écrit : ↑mar. 21 mars 2023 19:49 Un club qui sera parmi les favoris du National, ça intéresse du monde. Strasbourg et Bastia ont été rachetés alors qu'il y avait tout à refaire, et bien pire que chez nous.
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Oui je suis d'accord Nancy a fait comme nous et sont en galère en National il faut pas croire que ce championnat est simple il y a de bons joueurs.
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Re: [Rachat du club] Offre rejetée
Ah non ça c’est sûr mais bon on va arriver avec l’étiquette de PSG du national alors pas de souciBoldecyprine a écrit : ↑mer. 22 mars 2023 14:13 Oui je suis d'accord Nancy a fait comme nous et sont en galère en National il faut pas croire que ce championnat est simple il y a de bons joueurs.
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Re: [MÉDIAS] Sites, photos et articles sur le DFCO
Si quelqu’un a l article de ce jour avec Delcourt je suis preneur merci d avance
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Re: [PRÉSIDENT] Olivier Delcourt
Bien Public du jour
Olivier Delcourt (DFCO) : « S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main »
Tout est dit ...
Olivier Delcourt (DFCO) : « S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main »
Tout est dit ...
Re: [MÉDIAS] Sites, photos et articles sur le DFCO
Le début suffit
Olivier Delcourt (DFCO) : « S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main »
Voilà tout est dit
Il y a peu il disait que le club n'étais pas à vendre et qu'il ne laisserai pas le club s'il descendait....
Olivier Delcourt (DFCO) : « S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main »
Voilà tout est dit
Il y a peu il disait que le club n'étais pas à vendre et qu'il ne laisserai pas le club s'il descendait....
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Re: [MÉDIAS] Sites, photos et articles sur le DFCO
On parle aussi d investisseurs ???
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Re: [PRÉSIDENT] Olivier Delcourt
Olivier Delcourt (DFCO) : « S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main »
Depuis plusieurs mois, la rumeur d’une vente du DFCO prend de l’ampleur. Avec notamment un potentiel intérêt des propriétaires saoudiens de Newcastle, qui cherchent un point de chute en Ligue 2. S’il confirme être prêt à se désengager, Olivier Delcourt réfute cette hypothèse.
Depuis sa prise de fonction en tant que président du DFCO en juin 2012, Olivier Delcourt a notamment vécu une montée en Ligue 1 en 2016 et une descente en Ligue 2 en 2021. Photo LBP /Emma BUONCRISTIANI
Président, souhaitez-vous vendre le club ?
« Je mène une réflexion depuis un certain temps pour assurer son avenir et insuffler une nouvelle dynamique. Pour, éventuellement, l’arrivée de nouveaux investisseurs. Ou un rachat. Des choses sont initiées. Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant. J’écoute, je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé. »
On parle de l’arrivée des propriétaires saoudiens de Newcastle…
« Je n’ai jamais eu d’offres à 20 millions d’euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle. Déjà, je ne demanderais jamais un tel montant. Le DFCO est structuré, avec un centre d’entraînement au top, un centre de formation qui commence à avoir des résultats. En France, très peu de clubs sont structurés comme Dijon. Le plus important n’est pas ma personne, c’est le club. »
Le DFCO est entré dans son nouveau centre d'entraînement à l'été 2021. Photo LBP/Emma BUONCRISTIANI
Si vente il devait y avoir, serait-ce à court terme ?
« C’est à voir, je n’en sais rien. »
Quel est votre souhait ?
« S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main. »
Quitter définitivement le club ?
« Ou pas. Je pourrais toujours donner un coup de main occasionnel. Mais plus dans le sportif, je ne veux plus être dans les choix de joueurs, de coaches… J’ai envie de voir autre chose. Onze ans, c’est déjà bien. Si c’est douze ou treize, ce sera douze ou treize. Mais c’est usant et fatigant pour tout le monde. C’est une fatigue morale et physique. Je suis un chef d’entreprise d’une PME locale, à taille humaine. Je ne suis pas milliardaire, j’ai toujours géré le club comme mon entreprise, au mieux. On a réussi à avoir des résultats, à mettre de l’argent de côté. Aujourd’hui, on est dans un monde où il faut des investissements plus importants. »
Quelles seraient les conséquences d’une descente en National ?
« Ça serait très compliqué, il faudrait trouver des solutions, sur lesquelles je travaille. »
Une relégation vous obligerait-elle davantage à céder le club ?
« Pas obligatoirement, pas plus qu’aujourd’hui. Je ne suis pas obligé de céder le club. Je suis ouvert, le plus important est son avenir. Ce qui compte, ce sera le projet des investisseurs pour retenir le meilleur pour la suite. »
Olivier Delcourt est président du DFCO depuis l'été 2012. Photo LBP/Emma BUONCRISTIANI
Vous avez quand même investi beaucoup d’argent dans le DFCO…
« Je n’ai jamais investi en imaginant le retrouver un jour. Dans l’absolu, il est investi, on a fait ce qu’il fallait. Si je peux le récupérer, ce sera bien. Sinon… »
Si le club descend, son existence pure serait-elle en danger ?
« Il y a toujours un danger. Mais les contrats des joueurs sont prévus pour le National. Ce ne sera pas la même masse salariale. On a une structure importante, donc ça ne sera pas simple. »
Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant. J’écoute, je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé.
Je n’ai jamais eu d’offres à 20 millions d’euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle.
Making of
Pendant près de deux heures ce lundi après-midi Olivier Delcourt, nous a reçus dans son bureau de la Dijonnaise de Voies Ferrées (DVF) à Chevigny-Saint-Sauveur. Quelques minutes auparavant, le président du DFCO s’est présenté à l’entraînement de ses joueurs, avec lesquels il a eu une nouvelle discussion afin de tenter d’enrayer la machine infernale qui les mène en National. Olivier Delcourt s’est aussi rendu auprès de l’équipe féminine, qui a elle aussi hypothéqué ses chances de maintien en Division 1. Avant de balayer l’actualité du club, de son futur, avec ou sans lui. De son propre aveu, si l’homme est « touché », il n’est pas « coulé ».
le bien public
Depuis plusieurs mois, la rumeur d’une vente du DFCO prend de l’ampleur. Avec notamment un potentiel intérêt des propriétaires saoudiens de Newcastle, qui cherchent un point de chute en Ligue 2. S’il confirme être prêt à se désengager, Olivier Delcourt réfute cette hypothèse.
Depuis sa prise de fonction en tant que président du DFCO en juin 2012, Olivier Delcourt a notamment vécu une montée en Ligue 1 en 2016 et une descente en Ligue 2 en 2021. Photo LBP /Emma BUONCRISTIANI
Président, souhaitez-vous vendre le club ?
« Je mène une réflexion depuis un certain temps pour assurer son avenir et insuffler une nouvelle dynamique. Pour, éventuellement, l’arrivée de nouveaux investisseurs. Ou un rachat. Des choses sont initiées. Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant. J’écoute, je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé. »
On parle de l’arrivée des propriétaires saoudiens de Newcastle…
« Je n’ai jamais eu d’offres à 20 millions d’euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle. Déjà, je ne demanderais jamais un tel montant. Le DFCO est structuré, avec un centre d’entraînement au top, un centre de formation qui commence à avoir des résultats. En France, très peu de clubs sont structurés comme Dijon. Le plus important n’est pas ma personne, c’est le club. »
Le DFCO est entré dans son nouveau centre d'entraînement à l'été 2021. Photo LBP/Emma BUONCRISTIANI
Si vente il devait y avoir, serait-ce à court terme ?
« C’est à voir, je n’en sais rien. »
Quel est votre souhait ?
« S’il devait y avoir un repreneur, je veux passer la main. »
Quitter définitivement le club ?
« Ou pas. Je pourrais toujours donner un coup de main occasionnel. Mais plus dans le sportif, je ne veux plus être dans les choix de joueurs, de coaches… J’ai envie de voir autre chose. Onze ans, c’est déjà bien. Si c’est douze ou treize, ce sera douze ou treize. Mais c’est usant et fatigant pour tout le monde. C’est une fatigue morale et physique. Je suis un chef d’entreprise d’une PME locale, à taille humaine. Je ne suis pas milliardaire, j’ai toujours géré le club comme mon entreprise, au mieux. On a réussi à avoir des résultats, à mettre de l’argent de côté. Aujourd’hui, on est dans un monde où il faut des investissements plus importants. »
Quelles seraient les conséquences d’une descente en National ?
« Ça serait très compliqué, il faudrait trouver des solutions, sur lesquelles je travaille. »
Une relégation vous obligerait-elle davantage à céder le club ?
« Pas obligatoirement, pas plus qu’aujourd’hui. Je ne suis pas obligé de céder le club. Je suis ouvert, le plus important est son avenir. Ce qui compte, ce sera le projet des investisseurs pour retenir le meilleur pour la suite. »
Olivier Delcourt est président du DFCO depuis l'été 2012. Photo LBP/Emma BUONCRISTIANI
Vous avez quand même investi beaucoup d’argent dans le DFCO…
« Je n’ai jamais investi en imaginant le retrouver un jour. Dans l’absolu, il est investi, on a fait ce qu’il fallait. Si je peux le récupérer, ce sera bien. Sinon… »
Si le club descend, son existence pure serait-elle en danger ?
« Il y a toujours un danger. Mais les contrats des joueurs sont prévus pour le National. Ce ne sera pas la même masse salariale. On a une structure importante, donc ça ne sera pas simple. »
Des investisseurs sont intéressés, ce qui était déjà le cas avant. J’écoute, je regarde, j’entends. Mais, pour l’instant, rien n’est décidé.
Je n’ai jamais eu d’offres à 20 millions d’euros de la part des propriétaires saoudiens de Newcastle.
Making of
Pendant près de deux heures ce lundi après-midi Olivier Delcourt, nous a reçus dans son bureau de la Dijonnaise de Voies Ferrées (DVF) à Chevigny-Saint-Sauveur. Quelques minutes auparavant, le président du DFCO s’est présenté à l’entraînement de ses joueurs, avec lesquels il a eu une nouvelle discussion afin de tenter d’enrayer la machine infernale qui les mène en National. Olivier Delcourt s’est aussi rendu auprès de l’équipe féminine, qui a elle aussi hypothéqué ses chances de maintien en Division 1. Avant de balayer l’actualité du club, de son futur, avec ou sans lui. De son propre aveu, si l’homme est « touché », il n’est pas « coulé ».
le bien public
courage ! détermination ! ambition ! allez Dijon !!!