Baduld a écrit : ↑lun. 3 juil. 2023 21:01
Après les gars n’importe quel investisseur a pour objectif principal de faire des billets dessus, personne rachètera le DFCO juste pour le plaisir
Moi, je veux bien. J' adore le DFCO.
Bon, 15 euros ça suffira, ou faut t'il que je casse mon PEL pour monter jusqu' a 20 euros ?
Baduld a écrit : ↑lun. 3 juil. 2023 21:01
Après les gars n’importe quel investisseur a pour objectif principal de faire des billets dessus, personne rachètera le DFCO juste pour le plaisir
C'est vrai et c'est ça le problème.
Non pas qu'il y ait un problème en soit à gagner de l'argent mais c'est devenu impossible dans le foot. Tous les clubs vivent au-dessus de leurs moyens avec un déficit structurelles et survivent avec la vente des joueurs.
A mon sens il n'y a pas de plus-value possible sans nuire sérieusement au projet sportif.
Il n'y a que des cyniques ou des naïfs pour être pret a acheter un club.
Reste la solution des entrepreneurs locaux, pour qui la rentabilité ne se fait pas uniquement par le club mais aussi et surtout par le business qui tourne autour.
Il y a aussi la solution des clubs filiales mais alors adieu les ambitions...
Loulou Nicollin a englouti une fortune à Montpelier, par exemple, sans jamais faire de bénéfices avec le club mais cela lui a permis de rafler tout les marchés des ordures du coin.
Baduld a écrit : ↑lun. 3 juil. 2023 21:01
Après les gars n’importe quel investisseur a pour objectif principal de faire des billets dessus, personne rachètera le DFCO juste pour le plaisir
Moi, je veux bien. J' adore le DFCO.
Bon, 15 euros ça suffira, ou faut t'il que je casse mon PEL pour monter jusqu' a 20 euros ?
On cotise ensemble si tu veux, je peux rajouter 30 euros et 1 paquet de chewing-gum
Supporteur inconditionnel du DFCO pour le meilleur et pour le pire .
JMA69 a écrit : ↑lun. 3 juil. 2023 23:47
Loulou Nicollin a englouti une fortune à Montpelier, par exemple, sans jamais faire de bénéfices avec le club mais cela lui a permis de rafler tout les marchés des ordures du coin.
Olivier Delcourt, président du DFCO, sur la vente du club : « Il n’y a pas d’urgence »
Outre l’avenir sportif du DFCO, la fin de saison dernière a été aussi marquée par un possible rachat du club.
Outre l’avenir sportif du DFCO, la fin de saison dernière a été aussi marquée par un possible rachat du club , Olivier Delcourt ayant à plusieurs reprises indiqué avoir l’envie de « pouvoir le transmettre ». Le président dijonnais avait donc mandaté le cabinet Sport Value pour l’aider dans la cession.
Mi-juin, le nom de la famille Binnie - des investisseurs états-uniens de Boston, notamment spécialisés dans l’immobilier et les médias au travers de Carlisle Capital - se détachait alors. Sans que rien ne soit cependant finalisé. « Il y avait un repreneur qui était très intéressé, l’idée était de pouvoir finaliser une vente ou une prise de participation dans le club de manière qu’il puisse investir au niveau du sportif : choisir un coach, les joueurs, qu’il ait toute liberté », indique Olivier Delcourt.
« Cela a mis plus de temps que prévu et j’ai repris la main car on ne pouvait pas se permettre d’être en attente et se retrouver à un mois du début de la saison sans coach, sans joueur… Les discussions sont toujours là, avec d’autres aussi. Il n’y a pas d’urgence, ce qui compte pour le DFCO est d’avoir le meilleur projet pour l’avenir. Je prendrai tout le temps qu’il faut en concertation aussi avec les actionnaires et les élus proches du club. »
Le club dijonnais, désormais âgé de 25 ans, va donc entamer une 12e saison avec Olivier Delcourt à sa tête. « Une vente ou une prise de participation, ça se construit. Je laisse le temps au temps, je n’ai pas d’urgence », martèle Olivier Delcourt qui se veut positif, notamment depuis le passage devant la DNCG à l’issue duquel aucune mesure n’avait été prise à l’encontre du DFCO. « C’est une partie de mon apaisement. Mais c’est surtout la nouvelle équipe, le coach, le staff, voir cette envie au niveau des salariés du club… Cela fait des années que c’est compliqué, certains se voyaient licenciés, il n’y a pas eu de licenciement et derrière, les gens se sont rassurés. Tout le club doit être dans une dynamique de travail et performer chacun dans son domaine. »
Si personne n’a été licencié alors je tire mon chapeau au président d’avoir quand même su préserver ses salariés rien que pour cela il a toute ma sympathie.
Bravo Président
Même s'il n'a pas toujours pris les bonnes décisions, s'il s'est fait berner par des gens à qui il a trop facilement donné sa confiance, même s'il est grandement responsable des descentes successives du dfco, sur le plan humain ainsi que sur le financier, il reste un très bon président.
Olivier Delcourt, président du DFCO : « Le club est toujours en vente »
Initié la saison dernière, le projet de vente du DFCO est toujours d'actualité selon le président Olivier Delcourt.
L’avenir, c’est aussi cette potentielle vente du club…
« Le club est toujours en vente , certaines personnes ont émis un intérêt. Il y a des discussions , mais rien n’est formalisé. Il faut redonner un nouveau souffle, un nouveau regard. Ça fait 12 ans que je suis président, je suis attaché à beaucoup de monde, notamment les salariés. Jusqu’à aujourd’hui, personne n’a été licencié. Mais, tant que je n’aurai pas trouvé le bon investisseur, qui convienne au plus grand nombre, il ne se passera rien. »
Avant la fin de la saison ?
Le processus de vente peut-il s’accélérer ?
« L’an dernier, j’avais tenté de faire accélérer les choses avec la famille Bini et les Américains, pour que les choses se fassent avant la saison. J’aimerais que, cette fois, ça se fasse d’ici la fin de la saison, voire un peu avant pour que les personnes qui arrivent fassent leurs propres choix. »
On parle toujours d’une vente complète, d’une entrée au capital…
« Ce sera au choix. Je peux encore donner un coup de main, je suis au DFCO depuis plus de 25 ans, je suis attaché au club, de l’équipe première aux féminines en passant par le centre de formation. Le DFCO, c’est 150 salariés à tous les niveaux, c’est une très grosse entreprise dont l’aléa est lié aux performances sportives. »
Concernant la vente du club, selon nos informations, des investisseurs locaux et américains seraient intéressés…
« Il semblerait (sourire). Des choses pourraient aller plus vite que d’autres. »
Vous confirmez donc le processus…
« Oui. Il y a plusieurs intérêts , donc un qui date du début de semaine. Pour moi, le plus important est de trouver le ou les personnes qui pourront amener du sang neuf, de nouvelles idées à tous les niveaux. Et faire remonter le club. »
Cette vente pourrait-elle être rapide ?
« Peut-être d’ici la fin de la saison. C’est l’idée. Si ça ne se passe pas d’ici la fin de saison, on repartira avec moi, on ne changera pas. Ce qui m’importe n’est pas le financier. C’est le projet. Certains partenaires et le maire ont leur mot à dire. Le club appartient à tout le monde. Je ne serai pas le seul décisionnaire. »
Craignez-vous le passage devant la DNCG en juin ?
« Pour l’instant, il n’y a pas de crainte à ce propos. »
Des départs dans l'administratif ?
Serez-vous contraint de vous séparer de certains de vos salariés ?
« À un moment donné, il y aura forcément des choix à faire. J’ai tenu pendant quelques saisons. On n’avait déjà rien changé lors de la relégation en Ligue 2. Là, il faudra que l’on optimise et que l’on réduise les budgets. »
Il pourrait donc y avoir des départs de certains administratifs…
« Il peut y avoir des départs au sein de l’administratif. Mais on aura les solutions pour que ces personnes trouvent du travail dans la foulée. »
Les salariés sont actuellement dans le flou et ne savent pas ce qu’il adviendra d’eux prochainement…
« Il n’y a pas de flou. Ils sont payés tous les mois, à l’heure, on n’a aucune dette, on est à jour de toutes nos cotisations. Ça l’a toujours été depuis que je suis président et ça le sera jusqu’au bout. S’il doit y avoir des changements, la moindre des choses sera qu’ils soient les premiers prévenus. On aura peut-être des possibilités chez certains partenaires. On verra. »
Allez-vous demander à conserver le statut professionnel ?
« Oui. On a un centre de formation, on n’a aucune raison que l’on ne le demande pas et qu’on ne l’obtienne pas. Le Mans ( descendu en 2020 ) par exemple, a encore son statut professionnel. »